Baptême

Le sacrement du baptême est le fondement de toute la vie chrétienne, la porte qui ouvre l’accès aux autres sacrements. Il est le plus beau et le plus magnifique des dons de Dieu.  Il nous unit au Christ, il nous fait participer à sa mort et sa résurrection et nous purifie de nos manquements d’amour. Il nous rend pleinement enfant de Dieu et nous fait ainsi entrer dans la famille de Dieu qui est Père, Fils et Esprit. (Catéchiste de l’église catholique : page 266)

Une marque spirituelle indélébile…

Une marque spirituelle indélébile…
Incorporé à l’Église par le Baptême, le sceau baptismal rend capable et engage les chrétiens à servir Dieu dans une participation vivante à la sainte liturgie de l’Église et à exercer leur sacerdoce baptismal par le témoignage d’une vie sainte et d’une charité efficace. (Catéchiste de l’église catholique : page 276 # 1273)

 

Informations pratiques

  1. Veuillez remplir la fiche (en PDF) et à retourner : .
  2. Suivre la démarche de préparation au baptême adaptée selon l’âge. Pour un enfant (1 mois à 5 ans). Une rencontre obligatoire est à prévoir avec la personne ressource.
  3. Choisir un parrain ou marraine :
    L’arrivée d’un bébé dans une famille est un événement heureux auquel on veut associer un grand nombre de personnes.

Qui choisir comme parrain ou marraine ?

Pour les parents qui choisissent de faire baptiser, le choix de la marraine et du parrain est un moment important : ils demandent à des personnes significatives de les assister dans la croissance religieuse de leur enfant.

Assurez-vous que les personnes choisies soient disponibles pour votre enfant, à ses côtés à chaque étape de sa vie.

Pour être en mesure de bien jouer ce rôle, il a été établi que les marraines et les parrains doivent :

  • Avoir atteint l’âge de 16 ans
  • Être eux-mêmes baptisés et confirmés dans l’Église catholique
  • Connaître les responsabilités qu’ils acceptent et avoir l’intention de les accomplir.

Découvrez le sens du baptême en visionnant la vidéo Le baptême en trois questions du Diocèse de Paris.

« Allez de toutes les nations faites des disciples, baptisez-les au nom du Père, et du Fils, et du Saint Esprit. » (Matthieu 28, 19-20)

Pardon, Eucharistie et Confirmation

Comment pourrait-on croire à l’amour de nos parents ou à l’amitié de nos amis s’il n’y avait que des paroles ? Des gestes sont nécessaires pour qu’on puisse ressentir et croire à cet amour de nos parents ou à l’amitié. L’Église aussi a des gestes particuliers qui manifestent l’amour infini de Dieu pour ses enfants : ce sont LES SACREMENTS.

Chaque sacrement est un signe sensible qui nous aide à découvrir le DON DE L’AMOUR DE DIEU, à découvrir le don unique qu’il nous fait pour bâtir le monde à la suite de Jésus.

Le Seigneur agit par ses témoins. C’est donc dans la communauté de foi, l’Église, qu’on se prépare et qu’on célèbre les sacrements.

Avec la Gang GPS (Gang de pèlerins solitaires), si tu as le désir de te préparer à un sacrement, c’est possible ! Après quelques catéchèses de cheminement, des sentiers et une halte, tu pourras entrer dans l’une des voies d’accès conduisant à l’un de ces sacrements :

  • Parcours A : Catéchèse
    (7 ans et plus ou un jeune qui n’a pas vécu le baptême.)
  • Parcours B : Pardon-Réconciliation
    (8 ans et +)
  • Parcours C : Eucharistie ou la communion
    (8 ans et +)
  • Parcours D : Confirmation
    (10 ans et plus)

Pour plus de détails et voir comment t’inscrire aux activités, rejoindre le site de GPS.

Pour les adultes qui demanderaient le sacrement du Pardon /Eucharistie / Confirmation doivent communiquer avec le curé de la paroisse pour un cheminement adapté à eux.

« L’initiation chrétienne s’accomplit par l’ensemble de trois sacrements : le Baptême qui est le début de la vie nouvelle; la Confirmation qui en est l’affermissement; et l’Eucharistie qui nourrit le disciple avec le Corps et le Sang du Christ en vue de sa transformation en Lui. » Catéchisme de l’Église catholique, no 1275.

Mariage

Dieu, qui a créé l’homme par amour, l’a aussi appelé à l’amour, vocation fondamentale et innée de tout être humain. Car l’homme est créé à l’image et à la ressemblance du Dieu qui est Lui-même Amour. La vocation au mariage est très belle et repose sur l’amour. (Catéchiste de l’église catholique : page 341 # 1604)

Dans l’Église, on considère habituellement que ce sont les époux qui, comme ministres de la grâce du Christ, se confèrent mutuellement le sacrement du Mariage en exprimant devant l’Église leur consentement. Le prêtre ou le diacre qui assiste à la célébration, accueille le consentement des époux au nom de l’Église et donne la bénédiction de l’Église. La présence du ministre de l’Église et aussi des témoins exprime visiblement que le mariage est une réalité ecclésiale. (Catéchiste de l’église catholique : page 346 # 1623-1630)

Cliquez ici pour la démarche.

 

Étape : 1 an avant la date prévue pour votre mariage

  1. Prendre rendez-vous avec le prêtre de la paroisse pour fixer une date de la célébration.
  2. Vivre la session pour les couples qui cheminent vers le sacrement du mariage.
  3. Planifier une 2e rencontre avec le prêtre et remettre les documents.
  4. Rencontrer le prêtre pour préparer le déroulement.

« C’est pour cela que l’homme quittera son père et sa mère et s’attachera à sa femme, et les deux deviennent une seule chair. » Genèse 2,18-25

Onction des malades

Pour toute personne malade, incapable de venir à l’église et qui aimerait recevoir la célébration du sacrement des malades. Veuillez contacter le curé de la paroisse : L’abbé Pierre Garceau 819 233-2300.

Le sacrement de l’Onction des malades a pour but de conférer une grâce spéciale au chrétien qui éprouve les difficultés inhérentes à l’état de maladie grave ou à la vieillesse. Il est possible de remettre sa vie entre les mains de Dieu.

La grâce spéciale du sacrement de l’Onction des malades a comme effets : le réconfort, la paix et le courage pour supporter chrétiennement les souffrances de la malade ou de la vieillesse. La préparation au passage à la vie éternelle.

(Catéchiste de l’église catholique : page 326 # 1532)

L’onction des malades ne remplace en aucun cas les soins médicaux.

« J’étais malade et vous m’avez visité. » Matthieu 25,36